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autobiographie - Page 2

  • FLEUR : UNE HISTOIRE ROUMAINE

    SP de Mioara Tudose pour son livre « Fleur, une Histoire Roumaine »

    Résumé du livre

    Immédiate après-guerre. La ravissante Fleur, paysanne roumaine, vient de fuir sa campagne natale pour trouver refuge dans la capitale, Bucarest. Sera-t-elle capable d'aimer Tudor et de faire un mariage synonyme de l'amour éternel ? Ne pouvant a priori pas avoir d'enfant, parviendra-elle à donner tout l'amour d'une mère à sa fille adoptive, Ana ? Sa destinée sera-elle pleine de sacrifices ou de bonheur ? Dans une langue simple, attentive aux détails de la vie et aux humeurs du temps, Mioara Tudose nous invite à vivre quelques années aux côtés de son héroïne et de sa famille, et ouvre ainsi des pages peu connues de l'histoire de la Roumanie, celles qui correspondent à l'arrivée du pouvoir communiste dans le pays. Mais jamais Fleur ne perd espoir...

    Le personnage est inspiré de la propre mère de l'auteure, et, à son sujet, celle-ci écrit : « Pour moi, chaque jour est un jour de plus pour me souvenir de Fleur. Sa vie était pleine de mystère ; elle parlait avec les yeux, elle écoutait avec le cœur.... C'était Fleur. Son image restera à jamais dans ma mémoire ainsi que dans celle de mes enfants et de mes petits-enfants. Pour eux, j'ai voulu graver ce souvenir en écrivant ce livre.

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  • OBSCUR DELIRE

    Avis d’un SP reçu de @Veda Keirell pour Nouvelle Biographique « Obscur Délire »

    Quand Veda Keirell m’a proposé il y a quelques semaines de lire et de chroniquer son livre, j’ai dit oui tout de suite, car j’avais vu un mini-débat très animé sur la question où un journaliste qui connaissait vraiment très mal son sujet du jour, osait mettre systématiquement en doute l’enfer vécu par quelques victimes qui témoignaient ce jour-là, pour la plupart à visage caché, en laissant supposer que certains gestes menaçants avaient peut-être été « mal interprétés ». Le pauvre devrait lire cette courte mais percutante biographie … il commencerait sans doute à mesurer ce qu’est l’érotomanie, cette vraie psychose qui conduit parfois ceux ou celles qui en sont atteints à tuer « l’objet » (et c’est à dessein que j’emploie de mot car pour eux la personne visée n’est que l’objet de leurs délires imaginaires et pervers) du désir fou et non réciproque qui tente désespérément de leur échapper.

    J’ai lu très attentivement ce témoignage choc qu’on reçoit comme un uppercut et j’en suis ressortie à la fois glacée d’effroi et heureuse que cette sordide histoire se soit si bien terminée pour Sonali (qui n’est autre que l’auteur du livre dans la réalité. Tout part d’un compliment anodin sur la beauté d’une paire de boucle d’oreilles que l’héroïne fait à A, sa collègue, sans penser le moins du monde que cela puisse porter à conséquence. Comme il nous arrive parfois de dire entre copines après un essayage : « Tiens, cette nouvelle robe – ou baugue ou je ne sais quoi de futile – te va bien ! »

    Mais ce compliment aussitôt oublié va devenir la redoutable petite étincelle qui va  allumer un bâton de dynamite dans le cerveau malade de A Et tout sera alors prétexte à celle-ci pour tenter de se « faire aimer » de Sonali Du flicage de ses courriers d’entreprise à l’envoi de SMS de manière quasi ininterrompue (503 en une seule journée et soirée de mai !!!) qui oblige Sonali à la bloquer en chaine partout et à sursauter à chaque fois que son téléphone ou que la sonnerie de son appartement se fait entendre, en passant par des tentatives de rendez-vous forcés et avortés de plus en plus violents, la psychose de A la plonge progressivement dans un enfer qui durera 6 mois et la conduira au bord du burnout.

    Seul le soutien de quelques rares collègues et de son mari lui donneront la force de se battre contre cette folie délirante, à l’allure de plus en plus furieuse. Une agression sur sa voiture – pneus entaillés au couteau - suivie de menaces de mort explicites enregistrées grâce à sa présence d’esprit sur le dictaphone de son téléphone portable alors qu’elle était seule sur son lieu de travail, confrontée à son bourreau, fera enfin comprendre à tout son entourage professionnel à quel point A était devenue incontrôlable et dangereuse. Celle-ci perdra son emploi immédiatement (tout comme la RH trop complaisante qui couvrait ses agissements) puis sera internée quelques mois plus tard, permettant enfin à Sonali de tourner définitivement cette page nerveusement très éprouvante.

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  • UNE BOUGIE DE PLUS

    Avis d’un SP reçu de Cécile Berger pour son autobiographie « Une bougie de plus »

     

    Résumé du livre

     

    Une bougie de plus représente un aboutissement pour Cécile Berger qui a su braver les épreuves que lui a imposées la vie. Ici, on y retrouve à la fois ses analyses, ses remises en question et ses tribulations. Par le biais de son voyage initiatique, elle partage son expérience de la résilience afin que chacun puisse s'y identifier pour ainsi trouver un peu d'espoir.

     

    Quand Cécile Berger m’a proposé de Chroniquer son livre, j’ai immédiatement accepté pour 2 raisons.

    La première est tout bêtement le titre qu’elle a choisi et qui a immédiatement piqué ma curiosité de lectrice autant que d’auteur et chroniqueuse. Et j’ai voulu savoir ce qui se cachait derrière la brièveté de cette petite phrase, un peu étrange pour un titre, de prime abord.

    La seconde raison est que j’aime découvrir les (auto)biographies de personnes inconnues du grand public car pour moi, toute expérience de vie est porteuse d’enseignements susceptibles de faire évoluer le lecteur(la lectrice) au plus beau sens du terme. Et je dois dire que je n’ai pas été déçue.

    Cécile est une femme atteinte de mucoviscidose, mais qui a toujours refusé de s’en servir comme d’une excuse qui aurait pu justifier sinon son « laisser-aller » moral et physique du genre : »Moi de toute façon, avec ce que j’ai, je ne peux rien faire » ...  avec le sous-entendu -  « je n’essaie même pas et je reste assise sur le canapé en attendant que cette « chienne de vie » passe.

    Elle fait partie de ces êtres lumineux qui brûlent leur chandelle – pardon, leur bougie pour rester fidèle au titre de son livre – par les 2 bouts, mais jamais « stupidement ».

    Pas de conduite autodestructrice, mais au contraire un formidable instinct de vie qui lui fait apprécier le moindre petit bonheur, comme le fait, par exemple, d’aller se promener en sentant la chaleur du soleil ou le souffle du vent (elle qui en manque souvent si cruellement) sur son visage … Et c’est une première leçon pour nous qui sommes souvent si blasés, au point d’en oublier de regarder les beautés de la Nature et des êtres qui nous entourent chaque jour.

    Aucun sentiment de révolte non plus contre cette maladie encore incurable à l’heure actuelle malgré l’évolution des traitements, aucune tristesse inutile ni souhait qu’on la plaigne. Elle a pris sa vie « à bras le corps », avec la ferme intention d’aller le plus loin et le plus haut possible, au sens le plus noble, suivant en cela l’exemple et les valeurs que ses parents lui ont transmises. Sa sœur (atteinte du même mal), son compagnon, et quelques amies fidèles sont également les « murs porteurs » d’une maison où il fait bon vivre.

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