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rêves

  • SUR LE CHEMIN DE L'ILLEGALITE

    Résumé du livre

    Josie, Coach en Nutrition à Yaoundé, se voit offrir une chance en or : participer au prestigieux Congrès International de Nutrition et Santé en Belgique.

    Cette invitation semble être la chance de sa vie, voilà peut-être le signe qu’elle attendait... D’ailleurs son frère Gaston la convainc de rester, il y a mieux ici pour elle. Mais dans les rues pavées de Belgique, elle découvre rapidement un univers nébuleux aux dangers insoupçonnés.

    Afterworks, sites de rencontres, travail au noir… Sa vie prend un tournant inattendu dans cet environnement étranger.

    L’étau se referme. Vite, elle doit quitter l’immeuble qu’elle occupe. Un choix déchirant s’impose: retourner au Cameroun, tout recommencer à zéro, si près du but ? Aller ailleurs ? Où ? Et comment ?

    Mais le pire reste à venir. Qui est Bidjoga Geoffrey ? Qui est ce DJ qui veulent à tout prix l’aider ? D’où vient cette étrange compatriote ? Pourquoi eux ? Un coup du destin ? La réponse à ses prières ? Ou font-ils partie d’un plan savamment orchestré ?

    Tirer le vrai du faux. Défier conventions et adversités, dans une quête désespérée de vérité et de survie. Plongez dans les pages bouleversantes d’un récit poignant et palpitant, où le suspense vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière ligne.

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  • CES JOURNEES D'AUTOMNE ... SOUVENIRS TOUJOURS PRESENTS

    Les températures ont brutalement chuté ces jours derniers. Les pulls moelleux, les doudounes épaisses et écharpes ont retrouvés la première place dans nos gardes-robes... Les bottillons et autres baskets épaisses sont également de "sortie". 

    Les premières gelées sont là et laissent leur empreinte givrée sur l'herbe courte et rase des pelouses. Cela n'empêche pas les enfants du quartier de courir après les dernières feuilles qui se détachent des arbres... leurs joues rougies par la bise froide.

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    Et je me souviens moi aussi de mon enfance... et des dernières jeux d'automne, avec mes sœurs et les cousines, qui venaient à la maison, deux week-end par mois. Les petites citadines qu'elles étaient (elles habitaient Nanterre à l'époque) se "ressourçaient" à la campagne. J'avoue avoir envié, enfant, leur proximité de vie par rapport à la Capitale, qui me faisait déjà rêver !

    Au point d'avoir essayer de fuguer, pour les rejoindre... un samedi après-midi. J'avais parcouru les deux kilomètres, presque en ligne droite, qui me séparaient de l'arrêt de bus...  et c'est là qu'un voisin qui passait par là me repéra.téléchargement (1).jpg

    Ma mère, dans l'intervalle, s'était rendu compte de mon absence et, devant son affolement, celui-ci avait prit sa voiture, fait le tour des environs, et m'avait vu, assise et droite comme un i, attendant résolument le bus qui m'emmènerait à Paris... Il est vrai qu'à l'époque, je n'avais pas la moindre idée des distances !

    Après un grand éclat de rire et beaucoup de discussions, il a réussi à me convaincre de l'inutilité de mon attente, m'expliquant que plus de 400 kilomètres me séparaient de cette ville, "magnifique" à mes yeux d'enfant... en me promettant, pour me faire rentrer, un hypothétique voyage en train qui me permettrait de visiter la Capitale... un peu plus tard.

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    Je suis rentrée avec lui, inquiète à l'idée de "l'engueulade" que j'allais subir. Il plaida ma cause, en essayant de tenir son sérieux. Devant la vraie déception qu'elle lut cet après-midi là sur mon visage, ma mère abandonna son idée de fessée, me privant juste de sortie pour la fin du week-end. Je suis restée dans ma chambre, le nez collé au carreau... à rêver à la Ville-Lumière et aux somptueuses vitrines que le voyais à la télévision, pendant que mes sœurs profitaient une dernière fois de la cour, de la pelouse et du jardin. 

    46 années ont passées, la petite campagnarde a bien grandi... mais reste toujours fascinée par Paris, ses lumières, ses jolis petits quartiers et ses "grands boulevards".


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